Nous voulà finalement avec les candidats à l’élection du Président de la République qui sont définis. Les Socialistes on parié sur Mme. Royal, que l’on peut définir comme la « moindre socialiste d’entre les socialistes », ce qui peut signifier un tour au centre du parti, un exemple pour les gouvernements d’autres pays Européens, tels la France ou l’Espagne où la gauche est véritablement radicalisée.
Mais ce qui est surprenant de Mme Royal est plutôt son attitude envers l’étranger que ses idées pour la Métropole. Dire « Vive le Québec Libre » n’est rien d’autre qu’un émulation du Général De Gaulle, lors de sa visite-éclair sur l’ancienne colonie française. Espère-t-elle séduire comme ça quelque électeur de l’UMP, voire du Front National ?
Sur Sarkozy, rien à dire, ou presque. Il reste le candidat qui a lutté le plus pour achever sa candidature, et a mis à l’échec Chirac et son dauphin. Bien pour lui, mais mantenant il doit convaincre avec un programme solide, spécialement après la révolte des banlieues, d’où il en sortit renforcé.
Mais mon pari, pour les prochaines élections, et M. Le Pen. Le FN a modéré son message envers les électeurs, surtout avec le soutient d’immigrants de deuxième et troisième génération qu’a convaincu à Marseille, mais il n’a pas pour cela renoncé a défendre une France puissante.
Au moment présent, il est dur, d’établir si le FN pourra se présenter ou si L’UMP et Socialistes, effrayés par l’influence croissante de Le Pen vont lui casser les pieds à l’Assemblée Nationale. Certes, il serait souhaitable que le FN gagne mais le « moindre des fléaux » cette fois serait Sarkozy. Tout simplement parce que la France n’a pas besoin d’un Président Socialiste. Je crois que ce que la France doit faire c’est un pari sur l’initiative privée, et la petite entreprise. Un modèle de croissance qui dynamisera le pays encore une fois.
Saturday, January 27, 2007
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