La France pro-Arabe et la France anti-juive

Voilà que M. Ariel Sharon a décidé de rendre visite à son pair Villepin. Touts les politiciens d'Israél, dira-t-on, mênent une politique anti-palestinienne qui, selon ceux qui la contèstent vient à être "comme les Nazis aux camps de concentration". Ça fait déjà 50 ans que ça dure, et rien n'a changé.

Mais il faut se méfier. Souvant, ceux qui mènent la critique sont à la fois juge et bourrau. N'oublions pas que Le Pen et le FN avancent à chaque éléction dû au nombre toujours plus élevé d'immigrants des pays arabes. Or ce sont ces immigrants qui mênent la "lutte contre l'état d'Israel". Cet individu, Robert Kissous est un hypocrite, au mieux, car il s'en fout pas mal des Israéliens qui se font massacrer par un térroriste suicide. Lui, il ne voit que le peuple palestinien qui souffre.

Ce ne sera pas moi qui va nier cela. Les Israéliens ne font pas bien à construire un mur. C'est une métode soviétique, et dépassée. Cependant, de là à juger que "l'évacuation de Gaza n'est qu'un écran de fumée" rend évident que derrière ces manifs il n'y a qu'une bande de cons, qui ne pensent même pas ce qu'ils raccontent.

Mais si l'on cherche la raison chez les maniféstants, on ne va pas la trouver. Restons alors dans le domaine de la discussion politique. On a le droit de se maniféster, evidemment oui. A-t-on le droit de dire des conneries? Malgré moi, oui. Mais aujourd'hui que les évenements marchent, il faut être fort pour les mener à bon port.

La menace ne sont pas les cons qui se manifèstent à Paris. Ce sont les térroristes qui s'immolent au nom d'Allah et ce sont les militaires Israéliens qui ne croient qu'à la solution militaire.

Bush à raison à ce sujet là: Avec Arafat mort, tout roule. Et les térroristes sont les premiers à craindre une Palestine démocratique, en paix avec Israél.